
Belle journée en perspective...
les alizés sont au rendez-vous, les nuages qui voudraient s'imposer sont de suite balayes !
Dés les lueurs de l'aube, je suis allée avec j-l taper la balle sur les cours de tennis qui jouxtent la plage des "raisins clairs".
Sur l'eau, au niveau de petite terre, est posé un soleil énorme tout orange, une véritable orange disproportionnée ! la mer, est sombre sous cette masse énorme. Une lueur particulière se diffuse de tout côté, je n'ai jamais vu çà !
j'en profite, j-l attends, patient, il a l'habitude... il dit souvent que je suis imprévisible et que je vois des choses que lui ne remarque même pas !
J'en profite, vous dis-je car je sais que d'ici un quart d'heure tout aura disparu, ce sont des moments éphémères !
Mais ce n'est pas fini, car dans le ciel les frégates n'arrêtent pas de jouer, car là, j'en suis sûre elles jouent avec les courants d'air, elles montent haut, haut dans l'azur, elles se laissent tomber comme des cailloux certaines plongent dans l'eau d'autres frôlent l'écume des vagues et remontent comme des folles, elles vont chercher dans le bec, les poissons, que certaines ont attrapés, il y en a une qui fait sauter, une, deux, trois fois son butin avant de l'engloutir !
elles sont cinq mais on dirait qu'il y en a le double et sur l'eau se laissant porter par le clapotis des vagues trois pépères de pélicans, impassibles assistent à ce ballet, imperturbables...
Bon, tu viens jouer ?
Oui, oui, j'arrive, pas moyen de rêver...
les alizés sont au rendez-vous, les nuages qui voudraient s'imposer sont de suite balayes !
Dés les lueurs de l'aube, je suis allée avec j-l taper la balle sur les cours de tennis qui jouxtent la plage des "raisins clairs".
Sur l'eau, au niveau de petite terre, est posé un soleil énorme tout orange, une véritable orange disproportionnée ! la mer, est sombre sous cette masse énorme. Une lueur particulière se diffuse de tout côté, je n'ai jamais vu çà !
j'en profite, j-l attends, patient, il a l'habitude... il dit souvent que je suis imprévisible et que je vois des choses que lui ne remarque même pas !
J'en profite, vous dis-je car je sais que d'ici un quart d'heure tout aura disparu, ce sont des moments éphémères !
Mais ce n'est pas fini, car dans le ciel les frégates n'arrêtent pas de jouer, car là, j'en suis sûre elles jouent avec les courants d'air, elles montent haut, haut dans l'azur, elles se laissent tomber comme des cailloux certaines plongent dans l'eau d'autres frôlent l'écume des vagues et remontent comme des folles, elles vont chercher dans le bec, les poissons, que certaines ont attrapés, il y en a une qui fait sauter, une, deux, trois fois son butin avant de l'engloutir !
elles sont cinq mais on dirait qu'il y en a le double et sur l'eau se laissant porter par le clapotis des vagues trois pépères de pélicans, impassibles assistent à ce ballet, imperturbables...
Bon, tu viens jouer ?
Oui, oui, j'arrive, pas moyen de rêver...
1 commentaire:
BJOUR LES TENNISMEN,
Le tennis est un sport sérieux, qui ne permet aucun vagabondage de l'esprit...même si je me doute que les raisins clairs doivent être une source de couleurs et de paysages divers sans fin !
Bisous
François
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